#Chanson à la guitare
Explore tagged Tumblr posts
Text
Apprendre la guitare : pourquoi s'inscrire à notre newsletter ?
Apprendre la guitare est une activité passionnante qui peut apporter de nombreux bénéfices. C’est une façon d’exprimer sa créativité, de se détendre et de se divertir. Mais apprendre la guitare peut aussi être difficile, surtout si on est débutant. C’est là qu’intervient notre newsletter ! Nous proposons des ressources complètes et adaptées aux débutants en guitare. Vous y trouverez des cours…
View On WordPress
#Accords de guitare#Apprendre la guitare#Chanson à la guitare#cours de guitare#Débutant en guitare#jouer de la guitare#Progression en guitare#Tablatures de guitare#Technique de guitare#Tutoriel de guitare
0 notes
Text
Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes Qu'on avait habillés pour un autre destin À quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes Il n'y a pas d'amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare Il n'y a pas d'amour heureux Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri Et pas plus que de toi l'amour de la patrie Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs Il n'y a pas d'amour heureux Mais c'est notre amour à tous les deux
Louis Aragon. Il n'y a pas d'amour heureux
Image : Giulio Aristide Sartorio - La sirène (1893)
#art#painting#peinture#oil painting#19th century#italian artist#italian art#giulio aristide sartorio#litterature#poésie#louis aragon#love#amour
15 notes
·
View notes
Text
"Ça me fait peur de m'attacher parce que quand je m'attache je sais que c'est fort et... Je sais pas t'es la première personne qui m'intéresse autant depuis un moment. Et comme je te dis moi je suis sérieux, je cherche pas que du cul. Je t'ai dit j'ai essayé et c'est pas mon truc donc je sais que ça fonctionnerait pas si on fait juste ça. Et j'ai peur de m'attacher alors que t'es peut-être pas passée à autre chose avec ton plan cul"
________________________________________
"Je trouve ça tellement attirant une fille qui dégage de la bonne humeur" Moi : "Ah bah je suis faite pour toi alors 😎" "Ahaha franchement je veux trop voir ton sourire en vrai, j'aime trop"
________________________________________
"T’as aucune raison de perdre confiance en toi t’as l’air d’être une fille incroyable"
________________________________________
"T'es trop jolie sur les vidéos que tu m'envoies"
________________________________________
"Si tu voyages l'année prochaine tu crois qu'on devrait s'arrêter là tout de suite? Que c'est mieux qu'on ne se voit pas?" Moi: "Je sais pas, tu préférerais?" "Je sais pas moi je trouverais ça bête, tu me plais vraiment"
________________________________________
Moi: "J'ai l'impression qu'on a la même sensibilité". "Oui, c'est trop bien"
________________________________________
Je lui ai demandé s'il savait jouer "Wish You Were Here" de Pink Floyd à la guitare parce que c'est une de mes chansons préférées et il m'a dit qu'il allait essayer de l'apprendre 🫠
J'ai tellement peur de ce qu'il est en train de se passer mais il est en train de se passer quelque chose là.
(31/05/2024)
22 notes
·
View notes
Text
"Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux
Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux
Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux. "
Louis Aragon
6 notes
·
View notes
Text
Un peu de musique - Victor Hugo
Écoutez ! — Comme un nid qui murmure invisible, Un bruit confus s’approche, et des rires, des voix, Des pas, sortent du fond vertigineux des bois. Et voici qu’à travers la grande forêt brune Qu’emplit la rêverie immense de la lune, On entend frissonner et vibrer mollement, Communiquant aux bois son doux frémissement, La guitare des monts d’Inspruck, reconnaissable Au grelot de son manche où sonne un grain de sable ; Il s’y mêle la voix d’un homme, et ce frisson Prend un sens et devient une vague chanson : « Si tu veux, faisons un rêve : Montons sur deux palefrois ; Tu m’emmènes, je t’enlève. L’oiseau chante dans les bois.
« Je suis ton maître et ta proie ; Partons, c’est la fin du jour ; Mon cheval sera la joie, Ton cheval sera l’amour. « Nous ferons toucher leurs têtes ; Les voyages sont aisés ; Nous donnerons à ces bêtes Une avoine de baisers. « Viens ! nos doux chevaux mensonges Frappent du pied tous les deux, Le mien au fond de mes songes, Et le tien au fond des cieux. « Un bagage est nécessaire ; Nous emporterons nos vœux, Nos bonheurs, notre misère, Et la fleur de tes cheveux. « Viens, le soir brunit les chênes ; Le moineau rit ; ce moqueur Entend le doux bruit des chaînes Que tu m’as mises au cœur.
« Ce ne sera point ma faute Si les forêts et les monts, En nous voyant côte à côte, Ne murmurent pas : « Aimons ! » « Viens, sois tendre, je suis ivre. Ô les verts taillis mouillés ! Ton souffle te fera suivre Des papillons réveillés. « L’envieux oiseau nocturne, Triste, ouvrira son œil rond ; Les nymphes, penchant leur urne, Dans les grottes souriront ; « Et diront : « Sommes-nous folles ! « C’est Léandre avec Héro ; « En écoutant leurs paroles « Nous laissons tomber notre eau. » « Allons-nous-en par l’Autriche ! Nous aurons l’aube à nos fronts ; Je serai grand, et toi riche, Puisque nous nous aimerons. « Allons-nous-en par la terre, Sur nos deux chevaux charmants, Dans l’azur, dans le mystère, Dans les éblouissements ! « Nous entrerons à l’auberge, Et nous paîrons l’hôtelier De ton sourire de vierge, De mon bonjour d’écolier. « Tu seras dame, et moi comte ; Viens, mon cœur s’épanouit ; Viens, nous conterons ce conte Aux étoiles de la nuit. » La mélodie encor quelques instants se traîne Sous les arbres bleuis par la lune sereine, Puis tremble, puis expire, et la voix qui chantait S’éteint comme un oiseau se pose ; tout se tait.
19ème siècle, Poèmes, Victor Hugo
8 notes
·
View notes
Text
Dimanche
Jaloux comme un pou. Lors du Skype de ce matin, le Kid m’a raconté qu’il est allé avec sa classe à la villa Kujoyama, centre culturel français situé sur le mont Higashi, au-dessus de Kyôto, pour assister à un concert de la chanteuse Pomme, actuellement en résidence à la villa. Elle était seule en scène, s’accompagnant à la guitare et au piano. Le Kid était enthousiaste, avec juste un petit regret : en l’absence de Waxx, elle leur a dit ne pas pouvoir chanter « Laissez-moi danser » (reprise de la chanson de Dalida) qu’il connaît par cœur, tout comme le Mini Kid. Jaloux de mon petit-fils, mais très heureux de découvrir ce goût commun. Je regarde souvent les milliers de photos prises au cours de mes divers séjours dans ce pays que tout, ou presque, m’invite à adopter.
6 notes
·
View notes
Text
Sur le devant de la scène
Elle connaissait le succès,
Grâce aux chansons qu’elle écrivait.
Elle faisait même la une de la presse
Pour sa voix enchanteresse.
…
Partout où elle passait,
Ses concerts étaient complets
Par des fans émerveillés
De l’entendre si bien chanter.
…
Mais tout ça la fatiguait.
Elle préférait tout renoncer,
Et ne plus être une vedette
Qu’on suit bêtement à l’aveuglette.
…
Car tout cela l’énervait.
D’être toujours autant adulée.
Elle ressentait même une gêne
D’être sur le devant de la scène.
…
Un matin, elle est partie,
Avec sa guitare pour compagnie,
A la recherche des vieux troubadours
Qui chantaient contre un repas du jour.
…
Elle marchait de ville en ville
Se sentant toujours utile
Lorsqu’elle apportait un peu de joie
Avec le charme dans la voix.
…
Mais, c’était surtout au coin du feu,
Assise près d’un tendre amoureux,
Qu’elle retrouvait son inspiration,
Pour une nouvelle chanson.
…
Et jamais elle ne regrettait
De ne plus être autant adulée
Comme on courtise une reine
Sur le devant de la scène.
Alex@r60 – août 2023
21 notes
·
View notes
Text
Quelques trucs bien. Octobre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Accueillir ma fille, mon gendre et mon petit M. pendant les quelques jours de leur déménagement. Rassembler la famille
Profiter des vacances d’automne. Se laisser bercer par l’arrière-saison avant l’hiver
Écrire un poème sur la fin de l’été. Ode à septembre
Reprendre les ateliers d’écriture avec les ados
Récupérer mon petit M. après sa journée de garde. Le bercer, inventer une chanson pour le faire patienter en attendant le retour de sa maman. L’écouter pleurer pour évacuer le stress de sa journée puis le sentir se calmer dans mes bras
Bouquiner dans mon fauteuil jaune de lecture
Dénicher deux bd romans graphiques chez mon bouquiniste
Préparer une brioche maison pendant une insomnie. Me recoucher en pensant au délicieux petit déjeuner qui sera tout chaud
Faire la grasse matinée après une longue insomnie
Acheter une robe de soirée pour l’anniversaire déguisé de ma sœur. Soirée folle en perspective
Visiter le prochain appartement de ma fille, tout près de chez moi. La sentir heureuse de se rapprocher et de faire des projets
Bricoler avec mon fils. Trier, ranger, nettoyer. Réorganiser la vie
Accueillir un rouge-gorge qui vient m’annoncer personnellement que l’été est fini et que l’hiver est en chemin
Recevoir des nouvelles baskets. Plaisir des pieds
Commencer à rassembler le groupe de de peinture, petit à petit. Laisser s’exprimer et s’apaiser les craintes. Séance en atelier la semaine prochaine
Aller au restaurant et au cinéma entre filles. Passer une belle soirée à rire de bon cœur. La vraie vie comédie
Passer tout un week-end avec mon petit M. faire encore une insomnie mais l’écouter dormir à poing fermés
Avancer sur les démarches administratives. Espérer que ça aboutisse vite maintenant
Aller à une lecture d’un jeune poète syrien réfugié de la guerre et exilé en France. Écouter son témoignage en français, langue de la raison et ses poèmes en arabe, langue du cœur
Aller à un événement en soutien aux femmes iraniennes et afghanes. Me laisser submerger par l’empathie à l’écoute des témoignages et l’émotion des chants orientaux. Sentir les larmes aux yeux de tristesse et de colère
Aller à un spectacle de Résistances poétiques de Cyril Dion, vibrer de sa voix grave et des accords de guitare de Sébastien Hoog. Apprécier son humour et l’ironie du sort
Recevoir des photos de mon petit M. dans la journée. Savoir qu’il s’adapte bien à son mode de garde chez ma sœur
12 notes
·
View notes
Text
Les dames de Brassens
Sur l'air (approximativement) de la chanson Mélanie
Les coquines de l'ami Georges dans ses airs drôles autant qu'osés qu'il racontait à pleine gorge qu'il savait si bien composer,
s'appelaient Ninon ou Fernande sans perdre de vue Mélanie ces joyeuses filles en bande imaginons-les réunies
Quand c'est l'oreille que l'on rince ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Avec leurs prénoms de grand-mères elles avaient des charmes infinis pour les soldats de toutes guerres qu'on voit sur les clichés jaunis
quand ils mouraient sous la mitraille en Algérie à Diên Biên Phu ils ne rêvaient pas de médaille mais à leur enchantement fou
Que les culs serrés se décoincent ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces oiselles de bon augure qui narguaient un ordre établi héroïnes toutes en luxure ne tomberont pas dans l'oubli
car sous leurs manières peu sages les bidasses et les carabins imaginaient sous les corsages dont elles s'allégeaient pour le bain
Qu'elles soient de Paris de province ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
Ces ombres dans les cimetières font bander à coup sûr les morts qui se branlent tous dans leur bière devant ces jolis petits corps
Quelquefois elles ressuscitent sous la guitar' d'un vieux poète voici leurs appas d'Aphrodites quand ce gars leur chante fleurette
Elles sont pour les gueux pour les princes ce sont les dames de Brassens ce sont les dames de Brassens.
4 notes
·
View notes
Text
« Nous nous retrouvions tous les jours vers cinq heures à l'autre bout du parc, derrière l'étang, dans la cabane où le jardinier jetait les fleurs "atteintes par la limite d'âge", comme disait Lila ; elles avaient perdu leur éclat et leur fraîcheur et venaient là exhaler leur dernier parfum. On pataugeait dans les pétales, dans le rouge, le bleu, le jaune, le vert et le violet et dans ces herbes que l'on appelle mauvaises de leur vivant, parce qu'elles n'en font qu'à leur tête. C'était le moment où Lila, ayant appris à jouer de la guitare, "rêvait d'elle-même", une chanson aux lèvres. Assise parmi les plantes, la jupe retroussée sur les genoux, elle me parlait de ses futures tournées triomphales en Amérique, de l'adoration des foules et était si convaincante dans ses phantasmes, ou plutôt je l'adorais tellement, que toutes ces fleurs à ses pieds me semblaient déjà jetées là par ses fervents admirateurs ; je voyais le haut de ses cuisses ; je mourais d'envie, je n'osais rien, ne bougeais pas, je me mourais doucement, c'est tout. Elle entonnait d'une voix mal assurée je ne sais quelle chanson dont elle avait écrit les paroles elle-même et Bruno la musique, et puis, épouvantée par sa vieille ennemie, la réalité, qui refusait à ses cordes vocales les accents divins que Lila exigeait d'elles, jetait la guitare et se mettait à pleurer. — Je n'ai aucun talent pour rien, voilà. Je la consolais. Rien ne me faisait plus plaisir que ces moments du désespoir qui me permettaient de la prendre dans mes bras, d'effleurer ses seins de ma main et ses lèvres des miennes, et puis un jour vint où, perdant la tête, laissant aller mes lèvres à leur inspiration et sans rencontrer de résistance, j'entendis une voix de Lila que je ne connaissais pas, celle qu'aucun génie vocal ne peut surpasser ; je demeurais agenouillé, cependant que la voix me grisait et m'emportait au-delà de tout ce que j'avais jusque-là connu dans la vie du bonheur et de moi-même. Le cri monta si haut que je me suis senti, moi qui ne fus jamais un croyant jusqu'à cet instant, comme si je venais de rendre enfin à Dieu ce qui Lui était dû. Elle demeura ensuite inerte sur sa couche de fleurs, les deux mains oubliées sur ma tête. — Ludo, oh, Ludo, qu'avons-nous fait ? Tout ce que je pus dire, du fond même de la vérité, fut : — Je ne sais pas. — Comment as-tu pu ? Et j'ai eu cette phrase du plus haut comique, lorsqu'on pense à toutes les manières de rencontrer la foi : — Ce n'est pas moi, c'est Dieu. Elle se redressa un peu, s'assit, s'essuya les larmes. — Lila, ne pleure pas, je n'ai pas voulu te rendre malheureuse. Elle soupira et m'écarta d'un geste de la main. — Idiot. Je pleure parce que c'était trop fort. Elle me regarda sévèrement. — Où est-ce que tu as appris ça ? — Quoi ? — Merde, dit-elle. Jamais je n'ai vu un corniaud pareil. — Lila... — Tais-toi. »
Romain Gary, Les cerfs-volants, folio p. 81-82
(-> Suite)
3 notes
·
View notes
Text
Rock et Femmes badass
Style : Grunge, Punk, Punk-Rock, Pop-Punk
A la fin des années 80 dans l'état de Washington au nord ouest des USA il y avait peu de concert de groupe connue L'état était considéré comme vide et les groupe préférais d'autre destinations pour leur tournées.
Dans ce contexte à vue le jour une scène très local notamment autour de Seattle avec de nombreux groupes qui se connaissent et se supporte entre eux.
Et après ça a explosé. Grâce au Label SubPop et des petits groupe genre Alice in Chains, Pearl Jam, Soundgarden ou Nirvana deviennent mondialement populaire et la scène local trouve son nom : le grunge.
Mais a côté des super groupe y'a tous plein de pépites et moi je vais vous parler d'une facettes trop oublier du grunge a savoir les groupe de meuf badass.
Des femme engagée dans la musique il y en avais déjà dans les décennies précédentes bien sûr mais la scène de Seattle a permis l'émergence d'un vrai mouvement autour de sujets politique, des inégalités, des violence, du racisme qu'elles rencontrais dans leur vie mais aussi simplement le fait qu'elle avait autant leur place sur scène que leurs homologues masculins.
Voilà pour l'intro, maintenant place à la musique avec tous d'abord les groupe plus populaire, puis des deep cut qui méritent d'être plus connues et dans la et enfin des groupes actuelle parce que les femmes ont pas arrêté de faire de la musique badass en 1994.
I. Les groupes les plus populaires
Et on commence par celles qui est clairement plus connue pour son mari que pour son très bon groupe de musique : Courtney Love. Parce que celle qui fût la femme de Kurt Cobain (Nirvana) est aussi la frontwoman de Hole.
Des guitares bien saturé et une voix tantôt mélodique tantôt rauque dans les cris de rage de Violet ou Pretty On The Inside. Je conseil aussi Celebrity Skin dont le riff rentre en tête très vite.
Ensuite place a la leader du mouvement riot grrrls : Kathleen Hanna et Bikini Kill Je vais me répéter a ce sujet mais avec sa voix inimitable sur un rythme très punk avec des chansons qui dépasse rarement 2m30 elle parle d'émancipation et de féminisme comme dans Jet Ski, Alien She ou ma préférée de leur disco : Rebel Girls
Si les cris c'est moins votre trucs mais que vous voulez quand même du bon punk rock engagé, écoutez The Gits un de mes préféré de ce genre notamment pour sa guitare dont j'adore le ton et sa chanteuse Mia Zapata a la voix reconnaissable entre milles et au paroles souvent personnel et sombre comme dans Second Skin ou Bob - Cousin O. Malheureusement le groupe n'a pas duré longtemps a cause de la mort de Mia dans des conditions absolument ignoble . Je rajouterai Drinking Song parce que la terre a besoin de plus de chanson d'amitié.
Un petit dernier pour la route ? L7 est aussi un groupe connue et le seule de cette liste encore en activité. C'est moins "punk" mais tous aussi bon avec des mélodie entraînente et des paroles acide. Je conseil Shitlist, Fighting The Crave et surtout Pretend We're Dead
II. Quelques autres groupe de cette époque à connaitre
Pour la suite de cette série de recommandation je vais vous parler d'autre groupe de cette période. Elles sont moins connues mais mérite sans hésitation leur place dans cette liste.
Et je commence tous de suite avec 7 Years Bitch. C'est un de mes groupes préférés de cette période, leur son punk sans concession et leur parole franche qui attaque directement les problèmes de la société (souvent les mecs lol) me donne envie de renverser des gouvernements et de tuer le patriarcat.
Elles n'ont sortie que deux albums mais il sont excellents, notamment Viva Zapata dédié à la chanteuse de The Gits, tous comme M.I.A que je recommande vivement. J'ajouterai Icy Blue et le grand classique Dead Men Don't Rape.
Groupe suivant, Hammerbox, Ici on a des grosse guitare bien grasse presque métal elle la voix profonde et rauque de Carrie Akre dont j'adore le timbre.
Vraiment du grunge a l'état pur et un groupe qui mérite une meilleure reconnaissance ! Je vous recommande Bred, Hole et Hed en particulier.
Je pourrais continuer très longtemps mais je vais terminer avec un dernier groupe, Bratmobil. Que j'aime beaucoup pour la manière dont Erin Smith joue sa guitare de manière aussi simple qu'entrainante et efficace.
C'est un autre groupe qui n'a pas une longue discographique mais leur appartenance au mouvement riot grrrls et leur paroles féministe leur valent entièrement une place ici. Écoutez notamment What's Wrong With You, Cool Schmool et Bitch Theme.
III. Récents et toujours badass
Dernière partie de cette trilogie de recommandations grunge/punk/punk-rock et cette fois je veux vous parler de quelque groupe plus récents, qui continue d'être badass avec des grosse inspirations des groupes citée plus haut.
Et d'abord le groupe qui sort peut-être le plus des sonorité de ces recommandation : Meet Me @ The Altar. Iels sont tous récents et on sorties leur premier album cette année (sur le même label que Paramore soit dit en passant)
C'est du pop-punk avec des airs de la scene 2007-2013 et les paroles tournent autour des émotions de la chanteuse Edith Victoria souvent avec un son assez joyeux qui donne envie de chanter à tue tête avec un peigne en tant que micro. Je vous conseil Say It (To My Face), Kool et T.M.I en particulier.
Deuxième groupe de cette liste : The Royal They. On retourne dans un son plus punk avec de la grosse distorsion et une voix entre chant et crie sur des paroles acerbes et super bien écrites et un rythme effréné ça a vraiment l'air d'être le genre de groupe qui peut mettre le feu à un bar. Vraiment une petite perle qui je suis bien contente d'avoir découvert. Écoutez notamment C.N.T., Full Metal Black et Kamikaze
Et enfin le dernier groupe de cette looooonnnnggggguuuuuee liste que je veux vous faire découvrir, Destroy Boys C'est un espèce d'entre deux des deux groupe ci-dessus, moins vénèr et engagé que The Royal They mais plus punk que MM@TA et à mon sens c'est vraiment le descendant direct des mouvement grunge, riot grrl et tous ce dont on à déjà parler. Je trouve les paroles toujours très drôle, c'est bourré de sarcasmes et de refrain qui reste dans le crane dès la première écoute je recommande vivement Escape, Locker Room Bully et B.F.F.
Voila pour toutes ces recommendation sur mon intérêt spécifique du moment j'espère que ça vous plaira autant que ça m'a plus de vous envoyer ces pavés.
Je vous ai même fait une petite playlist avec tous les groupes dont j'ai parlé et quelques autre qui aura pu me faire écrire un post encore plus long https://open.spotify.com/playlist/1oXvDxiiiJ9FKsD8DtXO1O?si=065ab65f140c47e4 - A 🤘
21 notes
·
View notes
Text
🎤🎸 Êtes-vous vraiment un fan de Linkin Park ?
Alors que les accords de guitare résonnent, une opportunité unique se présente. Si vous pensez connaître chaque chanson, chaque parole et chaque moment mémorable de Linkin Park, il est temps de le prouver. Notre quiz spécial sur le groupe Linkin Park vous attend, rempli de questions aussi captivantes que leurs mélodies.
Plongez dans l'univers envoûtant de Linkin Park, testez vos connaissances et découvrez si vous êtes à la hauteur du groupe le plus emblématique du nu métal.
Relevez le défi ici : https://www.defisquiz.com/quizzy?l=fr&cat=musique&t=Linkin_Park
Le jeu commence... Êtes-vous prêt ? 🎤🎸
4 notes
·
View notes
Text
Née le 17 janvier 1944 à Paris, Françoise Hardy grandit dans le 9e arrondissement de Paris auprès d'une mère aide-comptable, Madeleine Hardy, et d’une sœur d'un an et demi sa cadette. Elle n'a que très peu de rapports avec son père, issu d'une famille bourgeoise de Blois, et marié à une autre femme. Timide et complexée, la jeune Françoise se réfugie dans la musique et se met à la guitare. Elle rêve de chanter et s'inscrit au Petit Conservatoire de la chanson de Mireille, où elle restera deux ans.
2 notes
·
View notes
Text
J’avais déjà repéré des chansons de ce chouette groupe dans leur album précédent, mais j’ai un vrai coup de cœur pour leur dernier.
Je l’ai écouté plusieurs fois depuis sa récente sortie, mais j’ai du mal à préférer un morceau, car je trouve les morceaux assez difficiles à différencier, pas parce qu’elles se ressemblent toutes, mais car les mélodies et l’instrumentation sont assez complexes au final.
J’aime beaucoup celui-ci, je le trouve sombre et dramatique et la présence discrète mais cruciale d’une flûte apporte de la beauté, une sorte de touche organique à un ressac de guitares saturées. Et la voix, ou les voix, superbes.
Il y a d’ailleurs des morceaux avec des chœurs, un peu étranges, un peu incantatoires en même temps que cinématographiques.
Je peux vite saturer quand j’ai l’impression qu’il y a un boucan gratuit, mais là, quand le son se brouille et s’intensifie, ça me paraît cohérent, bienvenu.
Je n’ai pas exploré les paroles, je ne sais pas quoi elles causent, mais quelque chose me dit que ce n’est pas hyper feel good, pourtant je sens aussi de la douceur, aussi de la lumière, des trouées, dans quelque chose de plutôt mélancolique et « dark ».
Ce qui est chouette, c’est qu’on a envie d’y revenir, de le réécouter, on y découvre à chaque fois un truc nouveau, et on peut changer de titre préféré au gré de son humeur.
PS : JADORE LA POCHETTE.
PS 2 : le dernier morceau est également assez génial.
2 notes
·
View notes
Text
Vendredi 7 juin
Eric Clapton, Pierre Le Tan et compagnie
J'ai pris le bus pour Lyon alors que je n'avais guère envie de bouger, tout ça me fatiguait d'avance, mais j'avais une bonne raison de faire ce trajet : Eric Clapton. Qu'est ce qu'on ne ferait pas pour une légende des 60's...
Pour le trajet, j'avais de la bonne lecture, évidemment. C'est à ce moment là, en ouvrant un livre de Pierre Le Tan, que j'ai réalisé qu'il allait falloir absolument creuser dans la bibliographie de cet auteur là, mais j'y reviendrai.
Une fois arrivé à Lyon j'ai filé dans mon hôtel lyonnais habituel, le Victoria. Comme je n'ai jamais eu le sens de l'orientation, je me suis arrangé pour tourner en rond pendant quelques minutes avant de trouver enfin le bon chemin pour accéder à l'hôtel.
Finalement je suis arrivé et je me suis installé dans ma petite chambre.
J'étais censé rencontrer Nassim (un pote de Twitter que j'avais déjà rencontré l'année précédente lors d'un autre passage à Lyon, souvenez vous) mais finalement, ça n'a pas pu se faire, hélas, et puis j'ai commandé un Mcdo, me le suis enfilé, et j'ai filé sur le lieu du concert où m'attendait Charly (toujours un pote de Twitter).
J'ai choisi la facilité en prenant un Uber. Mais le chauffeur, qui avait l'air plutôt sympa, m'a laissé à 2 kilomètres de la salle de concert. Ca m'a beaucoup embêté, je déteste marcher, surtout sans savoir où je vais, mais finalement, je suis arrivé à bon port, c'était l'affaire de 10 minutes.
J'ai retrouvé Charly et nous avons discuté, refaits le monde de la musique et trinqué, bière en main.
Et puis nous avons fini par entrer dans la grande salle de concert flambant neuve et nous sommes allé chacun nous installer à notre siège numéroté.
Nous étions bien en avance et la salle se remplissait petit à petit.
Pendant ce temps là, une sono diffusait les Beatles, pour mon plus grand plaisir.
Le public était composé d'environ 80% de boomers, ce qui est logique, Clapton étant âgé lui même septuagénaire.
L'attente fut interminable, pendant que je souffrais, assis sur ce maudit siège en plastoc qui me faisait mal aux fesses et aux jambes.
Finalement, après une première partie pas désagréable (Rover), le héros de la soirée a débarqué sur scène.
Enfin, j'avais Eric Clapton devant les yeux, au loin, mais bel est bien là !
Il faut dire que jusqu'ici j'ai réussi à voir tous mes héros et il me manquait Clapton, je rêvais de ce concert depuis presque deux décennies.
Que dire du concert ? Il était satisfaisant, Clapton a conservé sa voix et surtout, il n'a rien perdu de son jeu de guitare fabuleux, ce talent grâce auquel il gagna le surnom de « God », dans les années 60.
Il faut noter qu'il s'entoure d'un groupe de musiciens prodiges, tous des cracks dans leurs instruments respectifs. Le contraire aurait été étonnant.
Concernant la setlist, elle fut quasiment satisfaisante. Voir Clapton chanter Tears In Heavens était un rêve pour moi qui se réalisait. C'était aussi beau qu'émouvant (surtout quand on connaît l'histoire de cette chanson). C'était également un énorme kiffe d'entendre Cocaine, à vrai dire, il ne manquait que Layla, qu'il a osé ne pas jouer mais je le savais déjà, ayant étudié au préalable ses setlists des concerts des jours précédents. Il faut croire qu'il s'est lassé de sa chanson emblématique.
Le concert terminé, j'ai filé, pour me retrouver sous la pluie, dehors, éclairé par la lune, et après quelques mésaventures, j'ai fini par réussir à retrouver ma chambre d'hôtel, avec le cul en feu, résultat de plusieurs heures passées sur un siège inconfortable. Mais j'étais satisfait, j'avais enfin vu l'un de mes héros, après tout, c'est le principal. C'était l'objectif que je m'étais fixé il y a bien longtemps.
Je suis rentré chez moi le lendemain.
Pour revenir à Pierre Le Tan, il faut que je vous raconte comment ma bibliophilie s'est aggravée : je suis récemment tombé fou de l'oeuvre de cet auteur et illustrateur passionnant et, après avoir lu deux de ses ouvrages, j'ai fini par vouloir creuser et me procurer d'autres de ses bouquins. Le problème, c'est qu'outre les deux livres que j'avais déjà de lui, ses autres ouvrages n'ont pas été réédités, et on ne peut les trouver que d'occasion, et à des prix délirants. Ainsi, après avoir écumé les sites de vente en ligne, j'ai réussi à me procurer le très convoité « Rencontre d'une vie » pour la modique somme de 100€. J'ai pensé qu'après ça je serais enfin comblé mais, non, il me fallait absolument me procurer « Les années pop » et « Epaves et débris sur la plage ». J'ai fini par craquer et j'ai acheté le premier pour la modique sommes de 150€ et le second pour 60€. Ce sont des bouquins qui, à leur sortie, ne coûtaient pas plus de 12 balles. Autant vous dire qu'ils m'ont coûté une fortune, enfin, à l'échelle de mon porte monnaie. Mais une fois ces livres en main j'étais totalement comblé. Je crois que je suis un peu obsédé par tout ça mais, au final, ça vaut mieux que d'acheter de la drogue, vous croyez pas ?
Si vous me lisez régulièrement vous savez qu'il y a quelques semaines je me suis rendu à Paris pour voir Cat Power et que cette dernière a annulé le concert au dernier moment. Eh bien, l'autre jour, mon frère m'a contacté (chose rare) et il m'a proposé de me rendre au prochain concert de la belle, en juillet prochain. Je serai sur la liste des invités, j'entrerai donc gratuitement au concert en échange d'un article sur le blog (slowshow.fr). Je n'avais pas fait ça depuis le concert de Jack White, mais j'étais totalement emballé, alors j'ai accepté : rendez-vous le mois prochain pour lire le récit du concert, enfin, si la chanteuse ne décide pas d'annuler d'ici là.
Voilà, j'ai écris tout ce que j'avais à écrire, je vous salut et je vous remercie de me lire !
Bande son : Initials B.B.,
Love On The Beat, Serge Gainsbourg
2 notes
·
View notes
Text
LÉGENDES DU JAZZ
BUSTER SMITH, PÈRE SPIRITUEL DE CHARLIE PARKER
Né le 24 août 1904 à Alsdorf, près de Dallas, au Texas, Henry Franklin "Buster" Smith était le troisième d’une famille de cinq garçons. Né avec un excès de poids, Smith avait été surnommé ‘’Buster’’ peu après sa naissance. Tous les frères aînés de Smith étaient décédés en bas âge des suites de la rougeole.
Issu d’une famille musicale, Smith avait été particulièrement influencé par son père, qui jouait de la guitare. À l’âge de quatre ans, Smith avait commencé à jouer de l’orgue avec son frère ‘’Boston’’ Smith (c’est ce dernier qui actionnait les pédales pendant que Buster appuyait sur les touches). Peu après, le grand-père de Buster, qui était très religieux, s’était débarrassé de l’orgue familial car il croyait que celui-ci était en train de l’entraîner vers le péché.
En 1919, Smith avait ramassé 2000 livres de coton en cinq jours, ce qui lui avait permis de s’acheter une clarinette d’une valeur de 3,50$. À l’âge de dix-huit ans, Smith jouait de plusieurs instruments, dont l’orgue, la guitare, le saxophone alto et la clarinette.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après s’être installé à Dallas avec sa famille en 1922, Smith avait joué du saxophone alto et de la clarinette avec le Voodie White Trio. L’année suivante, Smith avait commencé sa carrière professionnelle en jouant du saxophone alto dans des spectacles de médecine itinérante, ce qui l’avait obligé à jouer très fort afin d’attirer plus d’acheteurs. C’est à cette époque que Smith avait commencé à former son propre style, qui était reconnu pour sa puissance. C’est également dans le cadre de ces spectacles que Smith avait fait la rencontre du trompettiste Oran "Hot Lips" Page, qui l’avait invité à se joindre à son groupe, les Oklahoma City Blue Devils, en 1925. Au cours des quelques années suivantes, Smith avait écrit la majorité des compositions du groupe avec l’aide du banjoïste Johnny Clark. Il avait écrit les paroles des chansons avec les collègues de la banque où il travaillait.
À l’époque où Smith s’était joint aux Blue Devils, le groupe était dirigé par le tromboniste Emir Coleman et comptait parmi ses membres Walter Page à la contrebasse, Oran ‘’Hot Lips’’ Page à la trompette, Lester Young au saxophone ténor, Count Basie au piano, Jimmy Rushing au chant et Emir "Bucket" Coleman au trombone. Le groupe avait fait la tournée de la région de Kansas City et du Midwest durant un an, ce qui avait assuré la popularité de chacun de ses membres. Même si Basie et Hot Lips Page avaient quitté le groupe, Smith avait décidé de demeurer avec la formation aux cotés du nouveau venu Bennie Moten, avant de tirer sa révérence à son tour à la fin de 1933.
La contribution majeure de Smith avec le groupe avait été d’utiliser une anche de saxophone ténor sur son saxophone alto, ce qui avait permis d’obtenir une sonoriré plus épaisse et plus lourde. Après s’être joint à son tour au groupe, Lester Young avait imité Smith en utilisant une anche de saxophone baryton sur son saxophone ténor. Le nouveau son avait éventuellement donné naissance à l’école des saxophonistes du Texas.
Après s’être installé à Kansas City en 1933, Smith s’était joint au Bennie Moten-George E. Lee Band, qui était alors le plus important big band du sud-ouest. Après la mort de Moten en 1935, Smith et Basie avait co-dirigé avec Basie le Buster Smith-Count Basie Band of Rhythm, dans lequel ils avaient innové en lançant un tout nouveau type de jazz. Le groupe se produisait au Reno Club de Kansas City. C’est ce groupe qui était éventuellement devenu l’orchestre de Count Basie. Après avoir quitté le groupe, Smith avait travaillé Andy Kirk et Nat Towles avant de former son propre orchestre. Parmi les membres du groupe, on remarquait le pianiste Jay McShann et un jeune saxophoniste de dix-sept ans appelé Charlie Parker. De plus en plus influent auprès de la communauté et l’industrie musicale du Texas, Smith avait donné des cours à Parker dans les années 1930. Smith, qui était devenu comme un second père pour Parker, avait également servi de mentor au guitariste Charlie Christian. Malgré sa couleur, Smith était très respecté des autres musiciens de jazz.
Après avoir quitté brièvement Kansas City pour se joindre au groupe de Claude Hopkins en Iowa, Smith était déménagé à New York en 1938 et avait écrit des arrangements our Count Basie, Benny Carter et Snub Mosley. Il avait aussi joué du saxophone avec le groupe de Don Redman. Au début de 1938, Smith avait également travaillé avec le trompettiste Dee “Prince” Stewart. À l’été de la même année, Smith avait de nouveau dirigé son propre groupe. Après avoir quitté Kansas City en septembre, Smith s’était de nouveau installé à New York et avait travaillé comme arrangeur pour Gene Krupa et Oran ‘’Hot Lips’’ Page. Après avoir de nouveau dirigé son propre groupe en Virginie en 1939, Smith avait collaboré avec Don Redman, Eddie Durham et Snub Mosley.
DERNIÈRES ANNÉES
Après être brièvement retourné à Kansas City en 1942, Smith avait dirigé son groupe dans le cadre d’une résidence au Club Shangri-La. Smith avait alors décidé de retourner au Texas et d’abandonner les tournées, même s’il était demeuré actif sur la scène musicale locale. Au cours des années suivantes, Smith avait composé pour des groupes de jazz et de blues tout en se produisant régulièrement sur scène. Il avait aussi enseigné à plusieurs jeunes musiciens du Texas dont Aaron "T-Bone" Walker et Red Garland.
Il avait fallu attendre l’année 1959 pour que Smith dirige sa première session comme leader à la demande des disques Atlantic. Parmi les pièces enregistrées lors de cette session qui avait eu lieu à Fort Worth, au Texas, on remarquait "Kansas City Riffs", "Buster's Tune", "E Flat Boogie" et "September Song" de Kurt Weill. Le frère de Smith, Boston, avait joué du piano sur l’album intitulé ‘’The Legendary Buster Smith.’’ Des anciens collaborateurs de Smith avait également participé à l’album. C’était la première fois que Smith enregistrait un 33-tours. Il avait aussi enregistré des 78-tours avec les Blue Devils, les Boogie-Woogie Boys de Pete Johnson, Eddie Durham, Leo ‘’Snub’’ Mosely, Bon Bon and His Buddies et le Don Redman Orchestra.
Dans les années 1960, Smith avait été gravement blessé dans un accident d’automobile qui l’avait obligé à cesser de jouer du saxophone. Afin de poursuivre sa carrière musicale, Smith avait commencé à jouer de la basse électrique à Dallas. Smith avait dirigé un groupe de danse jusqu’en 1980. Au milieu de la même décennie, Smith avait fait partie du groupe Legendary Revelations.
Buster Smith est mort d’une crise cardiaque à Dallas le 10 août 1991. Il était âgé de quatre-vingt-six ans. Smith était aussi connu sous le surnom de Professeur Smith.
Considéré comme un des musiciens les plus influents du Sud-Ouest des États-Unis, Smith avait été associé à pratiquement tous les groupes importants de la région de Dallas, d’Oklahoma City et de Kansas City.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Buster Smith.’’ Wikipedia, 2024.
‘‘Buster’ Smith, Saxophonist born.’’ African American Registry, 2024.
HAWORTH, Alan Lee. ‘’Smith, Henry [Buster] (1904–1991).’’ Texas State Society Association, 16 octobre 2015.
‘’SMITH, Buster.’’ Encyclopedia.com, 2019.
WATROUS, Peter. ‘’Buster Smith, 86, Alto Saxophonist And Band Leader.’’ New York Times, 15 août 1991.
3 notes
·
View notes